Francesco Pilla
Le travail de Francesco se situe à l’intersection entre les villes et les technologies. Son objectif est de construire de meilleures villes grâce à la technologie, à l’innovation et à la participation citoyenne. Son domaine d’expertise est la ville intelligente et dans l’analyse géospatiale spécifique et la modélisation de la dynamique urbaine, ce qui implique le développement de modèles basés sur SIG et d’outils d’aide à la décision, afin d’anticiper les impacts résultant des interactions entre la population humaine et l’environnement. Il utilise une gamme d’applications de détection omniprésentes et communautaires comme moyen d’étalonnage et de validation de ces outils SIG. Il intègre ensuite les modèles SIG et les flux de données issus de déploiements de détection omniprésents avec des algorithmes d’apprentissage automatique avancés pour mieux comprendre la dynamique spatiale dans les villes. Il explore actuellement l’utilisation de ces outils basés sur le SIG comme moyen d’intégrer la co-conception dans la planification urbaine et la détection omniprésente (statique et mobile dans le cadre d’initiatives de science citoyenne). Ceci est réalisé dans le cadre des activités du Living Lab qui se concentrent sur l’amélioration de la vie en ville, du point de vue de l’environnement et de la résilience aux événements météorologiques extrêmes. Il sera approfondi au cours de ses travaux dans le cadre de ses projets H2020: iSCAPE (coordinateur et chercheur principal) axé sur le contrôle intelligent de la pollution de l’air, OPERANDUM et Connecting Nature (chercheur principal pour UCD) axé sur la réduction des risques d’inondation avec la nature des solutions basées sur des projets pilotes, toutes deux testées à Dublin. Il est actif dans la modélisation SIG et l’analyse de données spatiales depuis 15 ans et il a acquis une expérience considérable dans les réseaux de capteurs pour la surveillance urbaine et l’exploration de données lors de mes collaborations avec IBM dans le cadre d’un IBM Faculty Award (2017) et de deux laboratoires de recherche différents au MIT. dans le cadre d’un Fulbright / EPA TechImpact Award (2015) et de ses travaux de recherche de doctorat (2011).